Philippe de Lyon parle de la charité

site Maitre Philippe de Lyon lever de soleil wwwphilippedelyonfr Le principe de charité le plus élémentaireLe principe de charité le plus élémentaire, voudrait que l’on n’ouvre sa bouche pour aucune critique
Il ne faudrait parler que pour faire avancer ou évoluer son prochain
Or le seul règne sur Terre qui puisse permettre à l’autre d’évoluer, c’est l’humain

Il n’écoute meme pas les oiseaux, qui dans leur chants, selon les mots prêtés à Philippe de Lyon: « ….Le chant des oiseaux est toujours bon. Ils annoncent la lumière et de grandes choses. Ils chantent les louanges du Dieu tout Puissant…. »
Il n’est donc pas normal de voir fleurir de partout des critiques de toutes natures, quand ce ne sont pas des jugements de tel ou tel comportement ou de telle parole ou de tel article.
On peut avoir un oeil critique, avoir une distance, mais on ne devrait pas juger

Peu importe ce que fait l’autre: c’est peut-être bon pour lui
Nous ne sommes pas tous là pour évoluer, et surtout pas à la meme vitesse
Un peu comme: Les paroles ne sont pas pour tous les estomacs

 » Si tu sais quelque chose de bon et d’utile, fais-en profiter le plus grand nombre possible ; mais respecte la liberté de chacun « . Lueurs spirituelles de J.A.Ravier
Maitre Philippe: Lorsque vous saurez admirer toutes, absolument toutes les œuvres de Dieu, c’est que vous aurez eu par la charité le moyen de les reconnaître, tandis qu’aujourd’hui vous vous servez des œuvres de Dieu pour vous battre contre elles et vous révolter -1896
Il ne faut pas être réfractaire à la Lumière, mais tâcher au contraire de se mettre sur son chemin.
Pour cela, il faut avoir la charité.
(19-2-1894) ;
La Lumière est la science ; quiconque a la charité a la Lumière. -30-11-1893

Je vous ai donné le moyen de soulager vos frères. Si tous vous aviez la charité, vous obtiendriez le soulagement et la guérison de ceux qui souffrent. Il n’y a qu’à demander à Dieu. Avec la confiance, la foi, on soulèverait des montagnes.

— Je ne puis rien, je ne fais que demander à Dieu, et vous ne pouvez éprouver de soulagement dans cette salle, soit pour les maladies, soit pour alléger le fardeau qui pèse lourdement sur ce triste monde, que si, à votre tour, vous avez quelque chose du côté de l’« Avoir », quelque chose que vous ayez fait pour le Ciel. Celui qui n’a pas fait d’œuvres méritoires n’a rien à attendre, et de même vous ne pouvez être entendus. Il ne faut pas être réfractaire à la Lumière, mais tâcher de se mettre sur son chemin.

— N’enfouissez pas les richesses dans des coffres, mais servez-vous-en à faire vivre des hommes, des enfants, ou, si vous ne pouvez pas, des animaux, chiens, chats, oiseaux, etc. Heureux les débonnaires !

— Tous nous pouvons être libres, acheter notre liberté, et commander alors ce que nous voudrions, mais ce n’est qu’en aimant notre prochain comme nous-mêmes.
— Il ne faut pas donner à l’estomac ce qu’il ne peut digérer.

Celui qui arriverait à aimer son prochain comme lui-même saurait tout.
— Aucune religion ne sauve si on n’aime pas son prochain comme soi-même.
— Nous pourrons nous gouverner seuls quand nous aurons la Charité, et pour cela il faut oublier les griefs et ne pas déterrer les morts, c’est-à-dire ne pas reprocher les mêmes choses à quelqu’un pendant des années.

— Nous ne devons nous enorgueillir de rien, la perfectibilité est presqu’à l’infini. Il faut fréquenter les êtres les plus repoussants, ne mépriser personne. En effet, le souffle de Dieu étant en tout être, ce serait L’offenser.

— Je vous ai donné le moyen de soulager vos frères. Si tous vous aviez la charité, vous obtiendriez le soulagement et la guérison de ceux qui souffrent. Il n’y a qu’à demander à Dieu. Avec la confiance, la foi, on soulèverait des montagnes.

— Tous vous cherchez la confiance, à avoir la confiance, la foi. Ce n’est pas cela qu’il faut chercher. Vous avez beau demander, si vous n’avez en votre cœur la charité, vous ne la trouverez point : il vous faut semer la graine qui est la charité, et vous récolterez la foi. La charité ne consiste pas à se dépouiller de tout ce que l’on a : elle consiste en toutes choses à ne pas faire à autrui ce que vous ne voudriez pas qu’il vous fût fait. Dans tous vos actes demandez-vous si vous voudriez que l’on fît ainsi pour vous.

— Vous avez tous lu dans l’Ecriture que le temps de la moisson viendra. Ce temps est plus près que vous ne le pensez, et je connais un fermier général, un commandant qui cherche des ouvriers pour faire la moisson. Vous avez bien vu aussi dans l’Evangile ce qu’on peut faire avec la foi. Je pourrais vous la donner ainsi que l’espérance, mais vous savez quelle condition il faut remplir pour l’avoir : Si votre voisin vous parle en mal de quelqu’un, il faut que vous ne trouviez pas un mot pour lui répondre et pour l’approuver.

Parce que, comment sait-on qu’avec telle parole, nous allons le faire avancer, nous allons l’influencer suffisamment pour qu’il se sente animé d’une flamme que l’on aura absolument cherché à allumer en lui? Nous n’en savons rien du tout. Nous n’avons en effet, aucune idée du degré d’avancement de la personne ou des personnes auxquelles on s’adresse.

— L’orgueil ? Vous avouerez bien que chacun en a un peu, plus ou moins. Ne portons de jugement sur personne, car Dieu n’a pas jugé et ne juge pas. Voulez-vous que je vous dise ce qu’est le Paradis qui n’est pas le Ciel ? Lorsque vous êtes venus en aide à votre prochain et que vous avez soulagé des peines, à votre tour vous n’avez qu’à demander et vous serez entendus. Voilà le Paradis. Comprenez-vous ?

Il en est de meme avec les jugements et les critiques.
Nous, nous trouvons ça, critiquable….Ne nous étonnons pas, après d’être jugé(s) aussi impitoyablement. Nous en aurons fait autant.
Là aussi, il n’y a que l’homme qui juge son prochain….

Plus on avance sur la Voie, moins on a le droit de juger. Une fois que l’on sait, on prend une responsabilité et un engagement pour chaque parole prononcée.

Les livres sont référencés dans la bibliographie

Des paroles sont publiées sur Facebook

6 réflexions sur « Philippe de Lyon parle de la charité »

  1. J’apprends que l’un de mes fils laudateurs est sorti de son purgatoire de l’Est pour nier la Charité que mon représentant dit de Lyon a toujours préconisée et que tout le monde lui reconnait unanimement dans ses actes et dans ses paroles.
    Autre erreur : il appelle mon représentant Maitre ce qui est son appelation courante parmi le public, mais il faut préciser que jamais il n’a réellement accepté ce titre.
    Enfin il semble méconnaitre la fréquentation de l’internet par mon représentant sur Terre dans la région de Lyon (et bien ailleurs) : car en se donnant la peine de chercher on découvre de très nombreuses communications de sa part, où il parle, où il écrit, et moyennant finance on peut même le consulter sur certains sites qui parlent en son nom.
    Avec toute ma bénédiction.

  2. Le profil sur le réseau Facebook a en effet, reçu de fortes menaces, très choquantes et sans aucun fondement.
    Venant d’une personne qui comme d’autres estime qu’il est irresponsable d’avoir osé créer un profil sur le réseau en plus de la page.
    En gros, le site se prendrait pour Maitre Philippe…
    Rien ne justifie un tel emportement et de tels propos.
    Cette personne bien sûr, ne figure plus dans aucun contact possible.
    Je crois qu’il est prêté à Monsieur PHilippe que la colère avilit l’humain…..Eh bien, il n’a pas dû être déçu de l’échange

    S’ajoute à cette expérience, le constat que des personnes viennent lire uniquement les commentaires….Non pas que les articles présentent un quelconque intérêt, mais dans de nombreux cas, la seule lecture des commentaires, ne peut qu’aborder de façon très incomplète les échanges sur le site.
    Les commentaires complétant les articles.
    Le manque de respect tout à fait évident est regrettable.
    Nous ne les remercions pas du tout de leurs visites.
    Peut-être viennent-elles juste surveiller ce qui se dit…Quel bel esprit.
    Nous ne jugeons pas du tout, mais établissons un constat.
    Bonne demi lecture
    La comparaison avec la lecture d’un livre, dont nous ne prendrions connaissance que des annotations…
    :-)

    1. Revenu d’un périple en chaise à porteurs avec Marie ( qui pleurait comme une madeleine ) je remets mon grain de sel, n’en déplaise aux colériques… En effet, tout cela ne doit pas être facile à gérer surtout si les personnes par leurs propos ne montrent aucun respect, ni pour le mage Philippe, ni pour ce site, et partant de là ni pour eux-mêmes. Et souvent de telles personnes se disent suivre des préceptes chrétiens qui ne sont que des paravents pour cacher leur triste vérité personnelle (à propos pour mémoire, la réincarnation suggérée dans la pensée du-dit maitre, n’est absolument pas reconnue par la Chrétienté).
      Et ils perdent leur sang froid lorsque l’on ne suit pas ce qu’ils considèrent comme leur catéchisme personnel qu’ils ont, ma foi, bien mal appris ou compris… Alors leur égo explose mais il ne faut pas leur reprocher car, peut être, c’est leur seul moyen pour exister, et à ce moment là il faut les plaindre…charité, compassion… Mais la compassion a souvent des limites.
      J’ai dit.

  3. Je partage totalement tous ces commentaires avisés et réalistes.

    Dans l’article ci-dessus, j’ai lu:
    « Plus on avance sur la Voie, moins on a le droit de juger ». Bien sur!
    Mais ce que je ressens bien plus encore est ceci:
    Plus on avance sur la Voie, moins nous vient l’idée, l’envie de juger.
    On peut voir, peser, établir un constat (comme écrit plus haut) mais pas juger.
    L’intolérance, le fanatisme, le sectarisme, le dogmatisme forcené sont aux antipodes de la Voie, même si tout cela semble partir de soi-disant bonnes intentions.

    Si l’on pratique au minimum l’acte de considérer l’arbre à ses fruits, il faut les regarder (d’abord les siens) sous forme d’intentions intimes, de secrètes pensées, de paroles prononcées, de mots écrits, d’actes posés.
    …Puis avoir l’honnêteté et l’authenticité de voir si c’est conforme à ce que l’on proclame par ailleurs, sur les plan religieux, spirituels etc….. charité, amour……
    Si ce n’est pas conforme, on doit SE remettre en question et non pas l’autre.

    La Voie nettoie lorsqu’elle est véritablement vécue. Il y a alors une grande cohérence de l’être et du faire.

    De même l’orgueil s’efface, laissant place à une véritable humilité « qui s’ignore elle-même ».

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