Poèmes en hommages Maitre Philippe de Lyon

site Maitre Philippe de Lyon www.philippedelyon.frVers pour Maitre Philippe de Lyon
Le thème: rendre hommage à Philippe de Lyon

Une proposition est faite auprès de tous, participants et lecteurs de composer, qui un texte, qui un poeme, qui un commentaire…sous la forme, dans la forme que vous choisirez.

Précision, ces poemes, ces textes, meme s’ils se retrouvent ici en commentaires, seront publiés en articles. Une rubrique a été créée pour recevoir ces écrits.

Vous pouvez donc poster en commentaire ou les envoyer depuis la page contact
Vous pouvez dire aussi bien ce que vous éprouvez ou ressentez, que ce que vous admirez chez Monsieur Philippe.
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8 réflexions sur « Poèmes en hommages Maitre Philippe de Lyon »

  1. À mon maître, avec Amour.

    Mon Dieu.
    Je pense aux enseignements de Mr Philippe de Lyon.
    Je pense qu’il est de vous.
    Comment en serait il autrement ?
    Aime ton prochain plus que toi-même.
    Ne médit de l’absent, si ce n’est en sa présence.
    Pratique la charité.
    Un Monde Parfait.
    Parfait d’occasions toujours plus nombreuses.
    Dessiné pour l’épreuve.
    A chacune faire ses preuves.
    Vouloir ne pas échouer.
    Ne plus avoir peur.
    Accepter.
    Changer.
    S’Élever et Élever.
    Endosser car on sait.
    Prier pour Pardonner.
    Prier pour avoir la force de pardonner.
    Prier pour le pardon des erreurs passées, présentes, et futures.
    L’allègement des chaines…
    Prier et guérir.
    Le seul désir pouvant être égoïste.
    Désirer être libre à tes yeux car tu sauras notre sagesse.
    La seule comptant à tes yeux.
    J’aime.

    Merci mon Maître, Tu es en mon coeur.
    Avra.

  2. Ce que j’aime bien dans ce texte, c’est qu’il résume bien, sans reprendre des citations entières de paroles, la pensée de Nizier-Anthèlme Philippe. Visiblement son auteure a procédé au même travail que moi en extrayant l’essence de cette pensée.
    Et nous en avons repérés les mêmes données ! Ce qui prouve bien que cela ressort en toute universalité sans avoir à se référencer à quiconque.
    Et ces leçons de sagesse je les ai souvent rappelées ici en les prenant comme modèle, comme exemple, souvent dans le désert ; et on ne les répètera jamais assez.

  3. Ce texte sera publié sur mon blog personnel et présenté en lecture au Salon des Poètes de Lyon ; on pourrait le titrer « le Clos Landar, la maison qui pleure »

    Cette riche demeure connue du monde entier,
    Elle qui a reçu tant de célébrités,
    Notamment tous ces nobles de la cour de Russie,
    Des chercheurs de l’époque et des artistes aussi,
    Posant sur le perron pour l’immortalité
    Ou assis dans le parc tout en buvant le thé.

    Pendant qu’à Lyon le Maitre soignait tant de souffrances :
    Il venait en aide à toutes désespérances,
    Distribuant l’argent au peuple malheureux,
    Accueillant les malades et tous les miséreux.
    Il expliquait à tous n’être qu’intermédiaire
    Et que ses dons venaient toujours par la prière.

    Il ne manquait jamais d’enseigner les patients
    Avec des phrases simples adaptées à son temps.
    Et de nombreux témoins notaient ses commentaires
    Que l’on trouve aujourdhui chez de nombreux libraires.
    Et dans son officine d’une rue de St Jean
    Il préparait des fioles et des médicaments.

    Sa fille fut un ange du prénom de Victoire
    Qui mourut foudroyée au sein du clos Landar.
    Ce fut un coup terrible porté par le destin,
    Et qui un an plus tard accentua sa fin.
    Et depuis des fidèles venus du monde entier
    Sur sa tombe de Loyasse viennent pour le prier.

    On entend sa demeure qui pleure de souffrance,
    Abimée par le temps, torturée par outrances ;
    Là haut sur la colline le domaine est blessé,
    Ayant perdu son âme, par tous délaissé.
    Heureusement certains encore se souviennent :
    Avec humilité comme hier ils reviennent.

    écrit le 7 octobre 2013 après une journée organisée au Clos Landar par l’Association Maitre Philippe.

    1. Joli poème Népo. Quand je dis joli, cela implique toute la sensibilité données aux images, l’émotion suscitée et de beaux alexandrins comme je les aime notamment avec le grand Victor Hugo

    2. Merci Nepo pour ce superbe hommage rendu de la plus élégante et de la plus humble des manières à ce clos qui nous a si gentiment ouvert ses grilles dimanche.
      Il va, bien légitimement, aboutir en article
      Merci ému en souvenir d’une journée dont nous nous souviendrons longtemps

      1. On peux parler de l\’état de grâce, vous devez connaitre cela ; et donc je n\’ai pas mis longtemps pour l\’écrire, les mots, les rimes, les pieds coulaient de source. Il n\’y a pas eu à faire de rectifications importantes…
        Cela arrive quand on se met dans certaines dispositions, cela m\’est arrivé après avoir visité Montségur, cela m\’est arrivé après avoir visité une chapelle romane. Et aussi quand on essaie d\’imaginer mais sans délire, la vie et la pensée d\’un personnage. Mais parfois cela peut jouer de mauvais tours : ainsi il y a nombre d\’années j\’avais entrepris d\’écrire une évocation théatrale de Verlaine avec pour sujet…sa canonisation. J\’ai tellement cerné le personnage que j\’ai dù arrêter, pensant devenir fou, en m\’intégrant complètement dans sa peau, devenant Verlaine, littéralement vampirisé par sa pensée et son mode de vie.
        Le début de mon écrit est toujours quelque part dans un dossier…

        1. Très interessant ce que vous exprimez, Népo.
          Le moins que l\’on puisse dire quant à votre texte :
          Guider par une main de Maître !

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